La mémoire perdue Andorre

Dans le cadre de la 6eme Biennale Internationale d’Andorre, « L’Andart 25 », Jean-Matthieu Gosselin et Ullic Morardont proposé une réflexion visuelle sur la mémoire individuelle perdue et sur la mémoire collective à reconstruire. Ils proposaient un voyage au cœur d’une mémoire abîmée, ébréchée, avec de petits stigmates et des cicatrices fugaces.Il s’agissait pour eux de comprendre ce qu’est l’histoire des hommes, la mémoire elle-même, d’interpréter l’empire de l’histoire, le pouvoir du pouvoir mémoriel, les commandements de la beauté simple, le pouvoir de la transformation quotidienne de la mémoire, l’autorité des souvenirs, la domination du vide – d’où naît le Souffle – et du plein, et le pouvoir du but, de répondre à cette pensée de Doménico Cieri Estrada.« L’art est une pause, une rencontre de sensibilités ».